L’essentiel à retenir : La Première Brique démocratise le crowdlending immobilier avec un seuil d’entrée record de 1 €, un TRI de 9,31 % et aucune commission sur les gains, mais les retards de remboursement fréquents nécessitent une gestion patiente du capital. Régulée PSFP, elle a financé 710 projets (282 M€) sans perte définitive à ce jour, mais son modèle exige d’intégrer le risque d’illiquidité avant d’investir.
Vous rêvez d’investir dans l’immobilier mais les montants exorbitants vous découragent ? premiere brique avis révèle une solution inédite : une plateforme de crowdfunding accessible dès 1€, sans frais, et régulée par l’AMF. Derrière ses rendements historiques de 9,31% se cachent pourtant des retards récurrents qui pourraient briser vos projets… Découvrez si cette promesse de démocratisation immobilière cache des failles critiques. Avec 282 millions d’euros collectés, La Première Brique séduit par ses garanties (hypothèque, caution solidaire) et son système de groupes équitable. Mais les retards de remboursement, parfois de plusieurs années, en font le talon d’Achille. Investir ici exige patience et compréhension du risque d’illiquidité.
- Résumé de notre avis sur La première brique
- Tarifs de La première brique
- Notre avis sur le prix de La première brique
- La première brique : pour qui ?
- Liste des fonctionnalités
- Avis clients
- Avis final
Résumé de notre avis sur La première brique
Note : ⭐8,5/10
La Première Brique propose un crowdfunding immobilier accessible dès 1 €, sans frais pour les investisseurs. Son interface intuitive et ses descriptions de projets détaillées (avec reportings réguliers) attirent un large public. Agréée PSFP par l’AMF (n° FP-2023-15), elle garantit la sécurité des fonds via Mangopay. Les retards de remboursement (12,5 jours en moyenne) sont le principal risque, mais aucun projet n’a entraîné de perte définitive de capital. Sur 710 projets financés à ce jour, un TRI global de 9,31 % est maintenu, avec plus de 100 millions d’euros déjà remboursés aux utilisateurs.
Avantages | Inconvénients |
---|---|
✅ Investissement minimum de 1 € | ❌ Retards de remboursement fréquents (12,5 jours de retard moyen) |
✅ 0 € de frais pour les investisseurs | ❌ Risque de perte de capital inhérent au crowdfunding |
✅ Plateforme régulée (agrément PSFP) | ❌ Durée des prêts allongée (17,73 mois en moyenne) |
✅ Rendement historique attractif (TRI 9,31 %) | |
✅ Descriptions de projets détaillées et actualisées | |
✅ Aucune perte de capital définitive à ce jour |
La Première Brique s’adresse aux investisseurs souhaitant diversifier leur épargne dans l’immobilier avec un faible capital. Malgré des retards récurrents, sa fiabilité s’appuie sur des garanties (hypothèque, caution personnelle) et un cadre réglementaire strict. Elle reste une option solide pour ceux prêts à accepter un risque modéré en échange de rendements supérieurs à la moyenne du secteur.
Tarifs de La première brique
Les différents modèles / formules / offres
La Première Brique propose un modèle économique entièrement gratuit pour les investisseurs. Aucun frais d’inscription, de gestion ou de retrait n’est appliqué. La plateforme se rémunère via une commission prélevée uniquement sur les porteurs de projets immobiliers après la finalisation de leur collecte. Cela garantit aux utilisateurs de percevoir 100 % des intérêts annoncés, sans prélèvement intermédiaire. Des avis soulignent cette transparence, un avantage clé pour optimiser le rendement.
L’absence de frais permet d’investir dès 1 €, avec un calcul de rentabilité simplifié. Contrairement à d’autres plateformes, aucun prélèvement ne réduit les bénéfices, ce qui valorise le TRI global de 9,31 % depuis son lancement. Ce modèle allie accessibilité et performance, sans frais cachés.
Notre avis sur le prix de La première brique
L’absence de frais est un atout majeur, renforçant l’attractivité de la plateforme. En officialisant un modèle 0 % frais, La Première Brique simplifie l’investissement immobilier participatif. L’agrément de l’AMF (numéro FP-2023-15) assure une régulation stricte, renforçant la confiance. Cependant, des retards dans les remboursements, soulignés par certains avis, rappellent les aléas du secteur. Aucune perte définitive n’a été enregistrée à ce jour, confirmant une gestion prudente malgré les imprévus.
La première brique : pour qui ?
La Première Brique s’adresse en priorité aux débutants en crowdfunding immobilier. Avec un investissement dès 1 € et une interface claire, elle permet de démarrer sans frais cachés. Les fiches projet détaillées et leur suivi régulier facilitent l’apprentissage, tout en prévenant des risques.
Pour les investisseurs souhaitant diversifier, la plateforme propose des projets variés (marchands de biens, promotions) avec des durées et rendements différents. Grâce à un TRI historique de 9,31 %, elle permet de construire un portefeuille équilibré sur des dizaines de prêts. Plus de 710 projets financés pour 282 millions d’euros assurent un large éventail de choix. Un système de groupes garantit un accès équitable aux opérations.
Les épargnants patients y trouvent leur compte malgré des retards ponctuels. Agréée par l’AMF, la plateforme rappelle les risques (illiquidité, retards) avec 0 % de perte définitive à ce jour. Sur 710 projets, 5,12 % ont eu un retard de 0 à 6 mois et 6,46 % au-delà. Les garanties (hypothèques, caution) et sa note de 4,7/5 sur Trustpilot renforcent sa crédibilité. Une durée moyenne d’emprunt de 17,73 mois exige néanmoins une gestion anticipée.
- Un débutant souhaitant s’initier au crowdfunding immobilier à moindre coût.
- Un investisseur cherchant à diversifier ses placements dans l’immobilier.
- Un épargnant patient, conscient des risques de retards et d’illiquidité.
En combinant accessibilité, transparence et rendements, La Première Brique s’impose comme une entrée de gamme solide. Agrément AMF, sécurisation des fonds via Mangopay et reportings réguliers assurent sa fiabilité. Cliquez ici pour commander La Première Brique et explorez son potentiel.
Liste des fonctionnalités
Une sélection rigoureuse des projets et des garanties solides
La Première Brique valide chaque projet via une analyse approfondie avant diffusion. Les fiches projet détaillées garantissent transparence en listant le promoteur, la localisation, les garanties et les risques. Les investissements bénéficient de garanties solides pour sécuriser les fonds. Cliquez ici pour commander La Première Brique
- L’hypothèque de premier rang sur le bien immobilier place les investisseurs en priorité en cas de liquidation
- La caution personnelle et solidaire engage directement le porteur de projet dans le remboursement
- La Garantie à Première Demande (GAPD) active rapidement les recours sans attendre la défaillance avérée
- Le nantissement des titres de la société de projet sécurise les investissements via les actifs juridiques
Ces garanties complémentaires forment un filet de protection pour les investisseurs. Le processus inclut une évaluation des risques par des experts avant la mise en ligne. Les rendements historiques, avec un TRI de 9,31 %, sont soutenus par cette rigueur.
Le système de groupes pour un accès équitable aux projets
Les investisseurs sont répartis en trois groupes (A, B, C) pour un accès prioritaire rotatif aux projets. Ce mécanisme alterné favorise l’équité entre anciens et nouveaux utilisateurs, même pour les opportunités les plus prisées. Commandez La Première Brique
Le système évite les abus en alternant les accès anticipés, renforçant la fidélisation des utilisateurs. Les groupes assurent une répartition juste, limitant les frustrations liées à la sur-demande. Cette approche équitable séduit les investisseurs débutants et confirmés.
Performances, chiffres clés et régulation
Depuis 2019, La Première Brique a financé 710 projets pour 282 millions d’euros, avec un TRI global de 9,31 % et aucune perte définitive de capital. Régulée par l’AMF (n° FP-2023-15), elle sécurise les fonds via Mangopay, contrôlé par la Banque de France. Investissez via La Première Brique
Les retards de remboursement, hérités du secteur immobilier, sont gérés via une communication transparente et des votes des investisseurs pour des solutions adaptées. La plateforme, malgré ces imprévus, attire par son accessibilité (1 € minimum) et l’absence de frais pour les utilisateurs. La régulation AMF et les garanties renforcent sa crédibilité.
Avis clients
Les avis sur La Première Brique révèlent une plateforme plébiscitée pour son accessibilité (dès 1 €) et ses outils numériques. Sur Trustpilot, elle obtient 4,5/5 sur 732 avis, mettant en avant une offre structurée pour démocratiser l’immobilier fractionné. Cependant, des retards de remboursement émergent comme un point de friction dans les retours utilisateurs.
« Pour chaque levée de fond, la première brique fournit une fiche projet détaillée, contrairement à d’autres concurrents, et fait des reportings réguliers sur les projets. On sent que la plateforme est sérieuse. »
Les utilisateurs valorisent notamment la clarté de l’application, avec des projets présentés en détail (localisation, bilan financier, calendrier). Un investisseur souligne : « Merci à Yohann pour sa réactivité à toutes mes questions ». L’absence de frais, les rendements historiques (TRI de 9,31 %) et les garanties (hypothèque, caution) renforcent sa crédibilité. Sur 710 projets financés, aucun n’a entraîné de perte définitive, un critère rassurant.
« A fuir absolument plateforme non sérieuse avec des interlocuteurs bisounours. Des projets en retard de plusieurs années avec des votes fictifs. Des garanties inexistantes. »
Certains investisseurs dénoncent des retards dépassant 6 mois, touchant 8,26 % des montants levés (données 2025). Le projet « LPB Le Barberousse » illustre ces critiques, avec une garantie hypothécaire sur un bien en état de péril. La plateforme attribue ces retards à des aléas sectoriels (crise post-Covid) et affirme gérer les litiges en faveur des prêteurs. Pour un utilisateur, ces justifications manquent de transparence : « Les votes [pour prolonger les délais] sont pipés dès le départ ».
Malgré ces critiques, La Première Brique se démarque par sa régulation AMF et la sécurisation des fonds via Mangopay, un prestataire encadré par la Banque de France. Ces garanties, combinées à un suivi personnalisé, maintiennent sa pertinence. Comme le résume un investisseur : « Fluide, simple, avec des reportings réguliers. Remboursement dans les délais malgré 15 projets déjà remboursés. »
Avis final
La Première Brique se distingue par son accessibilité exceptionnelle, permettant d’investir dès 1 € sans frais. Régulée par l’AMF, elle garantit une transparence irréprochable via des fiches projet détaillées (documents juridiques, prévisions financières, garanties) et des reportings trimestriels. Son service client, réactif et compétent, renforce la confiance. Avec un TRI historique de 9,31 % et aucun défaut à ce jour, elle attire les novices comme les experts. Des utilisateurs soulignent même une « prise en main fluide » et un « accompagnement rassurant », confirmant son sérieux opérationnel.
Cependant, les retards de remboursement restent un frein majeur. Certains projets accusent des retards de plusieurs années, avec un taux de défaut de 9,13 % (montant > 6 mois), supérieur à la moyenne du secteur (4-6 % selon le baromètre 2024 FPF/MAZARS). Ce risque d’illiquidité impose une vision à long terme. Des utilisateurs critiquent aussi un système de votes en cas de retard jugé peu opérant. Ces éléments nécessitent une analyse approfondie avant investissement.
La Première Brique est une excellente porte d’entrée vers l’investissement immobilier, à condition d’accepter que la patience est une vertu aussi importante que le capital de départ.
Pour un investisseur averti, la plateforme offre un rapport rendement/risque compétitif. Elle démocratise le crowdlending immobilier, à condition d’intégrer la gestion des retards. Ses garanties (hypothèque, caution personnelle) et sa régulation en font un choix solide pour un horizon long, à condition de diversifier les investissements. En résumé, une solution pertinente pour les profils prudents, conscients que le secteur exige une stratégie bien structurée et un suivi actif.
La Première Brique se distingue par son accessibilité (1€), transparence et rendement attractif (9,31 % TRI), mais les retards de remboursement fréquents restent un risque majeur. Recommandée pour les investisseurs patients et informés, elle reste une référence du crowdlending immobilier malgré ses défis d’illiquidité.
FAQ
Quelle est la meilleure plateforme de crowdfunding immobilier ?
La Première Brique se démarque comme une plateforme incontournable grâce à son accessibilité (dès 1 €), son absence de frais pour les investisseurs, et sa transparence (fiches projet détaillées, reporting régulier). Régulée par l’AMF, elle affiche un TRI de 9,31 % et a financé 710 projets pour 282 millions d’euros depuis 2019. Bien que des retards de remboursement soient fréquents, son modèle sécurisé (garanties solides, zéro perte de capital à ce jour) en fait un choix pertinent pour les investisseurs débutants ou souhaitant diversifier dans l’immobilier.
Est-ce que le crowdfunding est rentable ?
Le crowdfunding immobilier peut être rentable, mais avec des nuances. Sur La Première Brique, le taux de rendement interne (TRI) est de 9,31 %, ce qui est attractif. Cependant, ce rendement s’accompagne de risques : les retards de remboursement (12,91 % des montants investis actuellement en retard) peuvent allonger la durée d’immobilisation du capital. De plus, bien qu’aucune perte définitive n’ait été enregistrée, le risque de perte partielle ou totale existe, surtout si les garanties (hypothèque, caution) ne sont pas exécutées efficacement.
Quels sont les frais associés à l’investissement dans un projet immobilier sur La Première Brique ?
La Première Brique se distingue par un modèle sans frais pour les investisseurs. L’inscription, l’investissement, et le retrait des gains sont entièrement gratuits. Le modèle économique repose sur les frais facturés aux porteurs de projets (promoteurs, marchands de biens). Cela maximise le rendement net des investisseurs, contrairement à d’autres plateformes qui prélèvent des commissions sur les intérêts. Les seuls coûts éventuels pour l’utilisateur sont liés aux retards de remboursement, qui immobilisent temporairement le capital.
Quel est le chiffre d’affaires estimé de La Première Brique ?
La Première Brique ne publie pas officiellement son chiffre d’affaires. Cependant, elle a collecté plus de 282 millions d’euros depuis 2019 pour 710 projets, avec un TRI de 9,31 %. Son modèle monétise les frais imposés aux porteurs de projets, pas aux investisseurs. En supposant des frais moyens de 3 à 5 % sur les montants levés, son revenu annuel pourrait se chiffrer en millions d’euros. Néanmoins, cette estimation reste indicative, les données financières précises de la plateforme n’étant pas publiques.
Quels sont les inconvénients du crowdfunding immobilier ?
Les principaux inconvénients incluent :
– Retards de remboursement fréquents : 16,7 % des projets sont en retard, avec 35 % des montants levés en 2022 impactés.
– Illiquidité : L’argent peut être bloqué plusieurs années, surtout en contexte immobilier tendu.
– Risque de perte : Si les garanties (hypothèque, caution) ne sont pas exécutées, le capital est menacé, même si aucun défaut définitif n’a été enregistré à ce jour.
– Délais imprévisibles : La durée moyenne des prêts s’allonge (17,73 mois en moyenne), rendant difficile la planification des flux de trésorerie.
Quelle est la meilleure plateforme d’investissement en ligne fiable en 2025 ?
En 2025, La Première Brique reste une référence pour le crowdfunding immobilier, notamment pour les débutants, grâce à son accès à partir de 1 € et ses garanties (hypothèque, caution). Pour d’autres profils, des plateformes comme Lendix (pour des projets professionnels) ou Wiseed (pour l’innovation) peuvent compléter un portefeuille diversifié. Les épargnants privilégiant la liquidité opteront pour des SCPI ou des PEA. Le choix dépend de l’objectif (rendement, diversification) et du profil de risque (patience, appétence pour l’immobilier).
Quels sont les risques du crowdfunding immobilier ?
Les risques majeurs sont :
– Retards de remboursement : 12,91 % des montants investis sont actuellement en retard, avec des retards supérieurs à 6 mois pour 4,65 % des projets.
– Perte de capital : Bien qu’aucun défaut définitif n’ait été enregistré, le risque existe en cas de défaillance des garanties.
– Illiquidité : L’argent est immobilisé pendant plusieurs mois, voire des années, sans possibilité de récupération anticipée.
– Concentration des risques : Investir dans peu de projets augmente l’exposition aux défauts, d’où l’importance d’une diversification.
Est-il possible de gagner de l’argent avec le crowdfunding ?
Oui, il est possible de générer des gains, mais cela dépend des projets et de la durée d’investissement. Sur La Première Brique, le TRI moyen est de 9,31 %, avec des intérêts versés régulièrement. Cependant, les retards de remboursement (jusqu’à plusieurs années) peuvent réduire la liquidité. De plus, si un projet échoue (3,79 % en défaut), le recouvrement dépend de l’efficacité des garanties (hypothèque, garantie à première demande). En somme, le crowdfunding offre un potentiel de rendement élevé, mais nécessite une gestion proactive des risques.
Quels sont les 4 types de plateformes de crowdfunding en France ?
Les quatre principaux types sont :
1. Crowdfunding immobilier (prêt) : Comme La Première Brique, prêtant à des marchands de biens ou promoteurs avec garanties (ex. : Lendix, Homunity).
2. Crowdfunding en equity : Acquisition de parts sociales ou actions d’une entreprise (ex. : Wiseed, Anaxago).
3. Crowdfunding de dons ou récompenses : Soutien sans contrepartie financière (ex. : Ulule, KissKissBankBank).
4. Crowdfunding obligataire : Investissement dans des obligations émises par des entreprises ou collectivités (moins courant en France).